vendredi 9 octobre 2009

La griffe noire

Un livre passionant qui fait passer du rire aux larmes! Qui ne l'a pas encore lu?

lundi 20 juillet 2009

Marco, des Belges et des images floues et folles

Ecoutez Marco Koskas sur le premier salon virtuel du livre : www.mondedulivre.com

Ou copier et coller le lien pour aller plus vite.--->
http://www.mondedulivre.com/modules/smartmedia/clip.php?categoryid=1&folderid=332&clipid=626

jeudi 2 juillet 2009

A Nice, au festival du livre.

http://www.webtvnice.com
Retrouvez Marco, à Nice, faisant le pitre sous le soleil!

vendredi 12 juin 2009

Direct soir, jeudi 11 juin 2009



L'article:

Et Aline a crié…

Auteur touche-à-tout, Marco
Koskas a la particularité d’être le seul
écrivain à avoir aussi exercé le métier
de détective privé. Avec Aline, pour
qu’elle revienne, il livre un savoureux
polar à multiples tiroirs, quiproquos
et rebondissements. Se baladant
entre un petit village corse et les
beaux quartiers de Neuilly, l’intrigue
est centrée sur une femme fatale qui
n’a jamais su se refuser à un homme.
Styliste à l’ironie mordante, Koskas
en profite pour moquer la haute
bourgeoisie, les médias, la finance
ou le monde judiciaire.

mardi 2 juin 2009

C'est mieux le matin sur France 3, emission du 22 mai



Voici le lien pour voir l'emission sur France 3 , "C'est mieux le matin" avec Eric Perin, Cantona présentant son film Looking for Eric et Marco Koskas, son livre, Aline pour qu'elle revienne.



Critique d'Enora sur le site Onirik

http://www.onirik.net/spip.php?article7666


"Qu’y-a-t-il de commun entre Maura, jeune fille de quatorze ans, ayant quitté subitement son village de Corse en 1967 et la famille bourgeoise des Puissessay ?
Il ne faut pas moins que la plume enlevée et talentueuse de Marco Koskas pour nous emmener – sans nous perdre – dans ce labyrinthe familial et policier. L’histoire est habilement construite, gorgée de rebondissements et le suspense maintient le lecteur en haleine tout au long de ces trois cents pages...
Si on y ajoute des personnages hauts en couleur, un ton décalé et un humour un rien sarcastique - l’auteur semble prendre un malin plaisir à égratigner aussi bien la bourgeoisie que la police, les milieux financiers ou juridiques – on obtient une histoire étonnante et détonante, impossible à lâcher !
Pour ses trente ans d’écriture, Marco Koskas, cet homme aux multiples talents dont celui de détective privé, nous livre un roman policier passionnant, drôle, pétillant, qui fait un bien fou dans cette période morose."


Merci à elle.

mardi 26 mai 2009

CultureCie.com 17-05-09






Critique d'Axel Emdem pour le site CultureCie.com


Marco Koskas : « Aline, pour qu’elle revienne »


Douzième roman de l’ancien pensionnaire de la Villa Medicis Marco Koskas, « Aline, pour qu’elle revienne » est un fougueux livre d’intrigue qui se dévore à la vitesse du roadster de son héroïne. Au terme galvaudé de polar Koskas oppose et impose ses deux histoires qui s’entremêlent et nous mènent par le bout du nez jusqu’à sa fin. Vu la dépendance qu’entraîne ce bouquin, mieux vaut vous mettre en garde : c’est un stupéfiant qui pourrait vous tenir éveillé jusqu’à l’aube !
L’esquisse…

Deux villes, deux filles, deux milieux, deux histoires. Une ribambelle d’hommes et trois prénoms féminins. Deux époques que le temps finit par relier.

Dans les années 2000. Linda, une gamine milliardaire de 25 ans qui n’a pas vraiment l’air d’être dotée d’une personnalité complexe, sera jetée en prison du jour au lendemain. Sa mère, Aline, lui mène la vie infernale dans son hôtel particulier de Neuilly, en lui piquant ses anciens amants.
Dans les années 60. Maura, une gamine de Corse, est plus ou moins vendue par ses parents à une crapule marseillaise alors qu’elle n’a que treize ans. Sublime enfant au visage inépuisable… la vie ne lui fera pas de sitôt un cadeau à la hauteur de sa beauté.

Hormis une beauté hors du commun, tout sépare la gosse de riche de la rue Saint James de la pauvre enfant de Scolenza… jusqu’à ce que le mystère qui nous tient dans ce train fantôme ne remonte à la surface, tel un revenant.

La critique d’Axelle Emden…

Avec un style simple et dénué de prétention, Koskas nous projette dans ses intrigues aux multiples univers et aux interminables rebondissements. Misère, paillettes et sexe ; injustices, abandons et visions ; bavures, viols et meurtres… à croire qu’il y aurait une recette pour nous tenir en haleine ! Ça en serait presque agaçant, si ces beautés fatales et quiproquos ne nous embarquaient pas avec tant de suspense dans une mystérieuse affaire judiciaire. Familiale. Financière.

Chez lui du côté de l’Ouest parisien comme dans les couloirs de Fleury-Mérogis, le romancier ex-détective privé pose avec brio les briques d’une drôle d’histoire à suspense, parvenant à nous projeter en bord de mer en 68 comme dans dans le dernier scandale financier en date.

Après une première partie destinée à planter les décors, le roman s’emballe. Le tout est habilement parsemé de détails puisés au cœur d’univers totalement opposés. De la rue de la République à Marseille jusqu’au Dino de la Muette en passant par les « shalalas » du Marais et l’ambiance de Barbès, Koskas dresse une intrigue solide, passant avec aisance du trader-gigolo au dealer de coke et au diplomate véreux, sans jamais perdre de vue ses mystérieuses héroïnes. Alors forcément, on s’enfonce dans ce roman comme les personnages baignent dans leurs décors.

Polar et portrait des incohérences amoureuses, pastiche de la bourgeoisie et portrait des secrets de mères et de filles, « Aline » est un roman simple, puisque son genre appartient à l’intrigue. A moins qu’il ne soit au-delà des genres : à l’image de son héroïne, à l’image de son auteur aussi, qui confirme son éclectisme.

Terriblement bien mené et judicieusement construit, le roman tient son lecteur bouillonnant près de 300 pages durant. Peut-être pas une perle littéraire, mais un bijou de suspense.

A noter…

Marco Koskas : « Aline, pour qu’elle revienne »
Paru le 7 mai 2009
Chez La Baleine
277 pages
19€ env.


http://www.culturecie.com/fr/livres/litterature/litteraturefrancaise/critique-litteraire/article/marco-koskas-aline-pour-quelle-revienne.html